Vacheron Constantin a invité le photographe de légende Steve McCurry à partager son regard unique sur le monde afin d’illustrer la nouvelle collection Overseas, incarnation horlogère de son esprit du voyage.
La Maison et Steve McCurry ont souhaité sillonner le monde en douze lieux, douze sites rares ou méconnus, parfois inaccessibles, captés par l’objectif du photographe, qui résonnent avec les valeurs fondamentales de Vacheron Constantin.
La Maison révèle aujourd’hui les premiers lieux de cet Overseas Tour
Le onsen de Tsurunoyu, Japon : l’heure du rituel
Au Japon, onsen signifie « source chaude ». C’est ainsi que l’on nomme un bain thermal, lieu poétique, rituel et sacré. Dans la province d’Akita, la beauté du onsen émane de la présence d’éléments naturels – eaux, vapeurs, nature – intacts et maîtrisés qui ne portent jamais atteinte à la simplicité dépouillée et humble de l’établissement. Ici, nul ne peut se plonger dans ces eaux chaudes sorties du ventre de la terre sans suivre un rituel précis rendant hommage à la sérénité de la purification.
Le regard du photographe Steve McCurry
« Ce fut l’un des lieux les plus inspirants de mon voyage photographique. Quand nous sommes arrivés, il avait neigé depuis trois jours. Tout était recouvert de blanc, comme dans un rêve. C’était tout simplement fascinant d’être le témoin de ce contraste magique entre la froideur de la neige et la chaleur des bains. »
L’aqueduc de Padre Tembleque, Mexique : l’heure de la transmission
Conçu pour acheminer l’eau en plein désert mexicain, cet aqueduc à la beauté brute est la preuve architecturale d’un savoir-faire complexe et de connaissances technologiques approfondies. Cette oeuvre monumentale née de la rencontre entre les civilisations romaine et précolombienne, construite de 1553 à 1570 de Zempoala à Otumba, court sur une distance incroyable de 45 kilomètres.
Le regard du photographe Steve McCurry
« On saisit la force visuelle de cet aqueduc quand on prend conscience qu’il a été construit il y a plus de 500 ans avec une symétrie absolument parfaite. C’est pour moi un ouvrage à la structure poétique, planté au milieu de nulle part. »