What’s up? La poursuite de la collection Possession, toujours aussi graphique avec ses lignes simples et pures. Possession. Tout a commencé avec des anneaux qui tournent sur eux-mêmes. A partir de cette idée a priori tout sauf joaillière …. disons plutôt héritée des bijoux Art déco inspirés de vis et de boulons, Piaget a bâti un réel succès. Des anneaux qui tournent sans fin à rendre fou!

Les raisons de ce succès? Un bijou simple à porter, élégant, sans chichi et original.

Deuxième raison : la magie du nom, Piaget l’horloger, qui porte la discrétion dans son ADN…  mais qui a su aussi incarner de véritables tendances de mode avec des cadrans de pierre dure très colorées dans les années soixante par exemple. On a adoré ses cadrans de turquoise, de malachite et de corail!

Troisième raison : on y pense rarement, c’est le poids et la présence du bijou. Les bijoux Piaget ont le juste poids sur la peau. Ce n’est pas un argument, c’est de l’ordre de l’inconscient. Ce n’est pas ce qui vous fait acheter un bijou mais c’est une petite voix intérieure qui vous en parle.

Quatrième raison : Piaget ne convoite pas la presse urbi et orbi et essaye de ne pas trop la jouer bling, on aime cette discrétion, hommage au fondateur de la Maison et à la famille.

A Noël, c’était des bangles simples ou pavés, 7 versions au total à porter comme une semainier, un riche semainier. Avec un sautoir sublime qui se serre ou se desserre comme une bolo-tie. Et beaucoup d’autres nouveautés…

Au printemps, ce sont des bracelets des esclaves et des torques ouvertes sur le cou. Avec juste ce qu’il faut de diamant.

Et la simplicité graphique, toujours. Possession trace son chemin.

Isabelle Hossenlopp

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