La Maison Arthus-Bertrand entretient depuis plus de deux siècles un précieux savoir-faire dans la fabrication d’objets chargés d’âme tels que médailles, épées, insignes, décorations et trophées en faisant appel à des artistes et sculpteurs renommés. Le travail du métal, de l’or et de l’argent sous toutes ses formes, la fonte, la frappe, l’orfèvrerie, la bijouterie et tous les métiers de grande précision que l’on imagine derrière ces mots fondent depuis toujours sa réputation.
Les bijoux Arthus-Bertrand sont le fruit de ces années de savoir-faire. La Maison a une philosophie, une ligne de conduite. Loin de toute ostentation, son éthique est celle de la simplicité et de la sobriété, de l’accessibilité à toutes les femmes. Arthus-Bertrand est une Maison pour laquelle ces valeurs ont un sens et les nouvelles collections qui ont été confiées à l’artiste-joaillier Emmanuel Aubry, le nouveau Directeur Artistique de la Maison, en sont encore une preuve.
Les nouvelles créations se composent de quatre influences, quatre histoires qui se racontent. « Histoires » : c’est ainsi qu’Emmanuel Aubry a nommé ces lignes, comme autant d’inspirations insufflées aux bijoux, comme une nouvelle lecture d’un univers merveilleusement raffiné et féminin.
Les quatre histoires JAZZ, ATELIER FURSTENBERG, LE TABOU et QUARTIER LATIN introduisent avec talent et délicatesse une touche audacieuse, un twist, un biais dans les collections d’Arthus-Bertrand. Emmanuel Aubry aime le coup de patte irrévérencieux, le coup de crayon inattendu qui va faire basculer le sage classique vers l’originalité.
Les noms des quatre histoires évoquent Saint-Germain et le Quartier Latin, le monde des artistes et les années jazz. Ils rappellent que la Maison Arthus-Bertrand est implantée Rive Gauche depuis sa naissance. L’esprit rebelle à un style trop codé, un sens inné du chic moderne et simple, le refus d’une ostentation facile et clinquante, c’est tout cela, l’esprit Saint-Germain.
C’est tout cela, l’esprit Arthus-Bertrand.
JAZZ
La ligne JAZZ épouse une attitude. Osée, nouvelle, pointue. JAZZ suggère le Modernisme et le Minimalisme où la conception se réduit à l’essentiel. L’explosion des codes du bijou classique, matérialisée dans cette collection ultra-plate et ultra-fine ou seule triomphe la matière, maîtrise l’harmonie et l’élégance. Dans cette rupture nette de style, les biais et les coupes franches façonnent le métal d’une façon inhabituelle. Le bracelet JAZZ semble tranché dans une fine plaque d’argent poli miroir dont la bordure est satinée. Les bagues se posent de biais, épousant harmonieusement la base du doigt qui n’est jamais elle-même parfaitement alignée. La chevalière est comme un cube disloqué en deux blocs biseautés, suprême élégance d’un bijou totémique.
Des motifs d’oreilles et un pendentif en forme de jeton tournoyant sur sa fine rotule d’argent complètent cette collection déjà devenue emblématique avant d’être lancée.
La ligne JAZZ évoque le savoir-faire de la Maison Arthus-Bertrand qui découpe, cisèle et polit le métal, l’or et l’argent avec un incroyable talent depuis plus de deux cents ans. Comme des bijoux Art déco version XXIème siècle, les pièces de cette ligne atypique, tranchée et biaisée sont d’une modernité et d’une élégance incomparables.
ATELIER FURSTENBERG
ATELIER FURSTENBERG est une histoire simple, délicate et féminine dont le volume fin et léger s’accorde à tous les styles de vie. L’extrémité de ces bijoux longilignes et mobiles s’embellit d’un cabochon de pierre, opale rose ou spinelle noir.
Dans la collection ATELIER FURSTENBERG, la bague jonc s’ouvre sur le doigt, chaque extrémité se termine par un petit cabochon de pierre en léger dôme précieux et délicat donnant une touche de lumière sur la main. Le jonc enserre le poignet avec délicatesse, façon bracelet des esclaves, rigide et ouvert sur le dessus. Sa forme fine et ronde assure un confort parfait, il s’emmène partout et ne se quitte plus.
Les longs pendants d’oreilles, dans leur délicat balancement, accompagnent les mouvements d’un gracieux éclat. Ils accrochent la lumière au plus près du visage. Leur rigoureuse rectitude s’achève en cabochons de pierre délicatement féminins, comme des gouttes s’échappant du métal. L’opale rose « peau d’ange » sur une finition or jaune apporte une note douce et chaleureuse. Le spinelle noir sur finition platine souligne de son aspect sombre et profond, contrastant avec le métal blanc, le côté chic et strict du bijou. Le pendentif ATELIER FURSTENBERG se love au creux du décolleté dans sa version longue ou du cou en version courte, captant l’éclatdu moindre mouvement. Le serti des pierres est « diamanté », une technique de travail de l’argent qui reproduit le chatoiement du diamant à la surface du métal. Ce détail apporte un vif éclat au bijou.
Les agrafes d’oreilles en argent diamanté de la collection sont comme de petits éclats de lumière sur l’oreille, positionnés horizontalement… ou suivant inspiration. Pour les femmes à l’esprit Rive Gauche adeptes du minimalisme, ce bijou étonnant et minuscule pourrait bien devenir le best seller de l’histoire ATELIER FURSTENBERG !
LE TABOU
LE TABOU, du nom du club de jazz adulé dans le Saint-Germain des années 50, est une nouvelle histoire dans la collection des bijoux Arthus-Bertrand. Elle s’inspire des bijoux typiquement Modernistes, lisses et comme taillés dans la matière, jouant sur la superposition et l’imbrication de joncs de différents diamètres et de différentes finitions, polie et satinée. Dans l’histoire LE TABOU, les cabochons d’opale rose ou de spinelle noir semblent à la fois en équilibre et en suspension, posés sur leur croissant de métal à l’intérieur d’une chaîne, d’un jonc ou d’un anneau. Ils sont comme sertis à l’envers, côté peau, qu’ils n’effleurent pourtant jamais. Mais l’effet de style est étonnant.
La collection LE TABOU plaira à toutes les femmes par sa finesse. L’originalité du serti des pierres en fait un bijou tout à fait surprenant. Comme dans l’histoire ATELIER FURSTENBERG, l’opale rose « peau d’ange » est sertie sur un bijou en argent avec une finition or jaune et le spinelle noir sur un bijou en argent avec une finition platine.
QUARTIER LATIN
QUARTIER LATIN évoque avec tendresse et douceur les petites mains du Quartier Latin qui, jusqu’au siècle dernier encore, brodaient du jour échelle les beaux draps qui faisaient la fierté des familles et se transmettaient de mère en fille. La « rivière », c’est-à-dire la longueur de tissu ainsi brodée, devait être à la fois très fine et extrêmement solide. Le motif jour échelle reproduit dans les bijoux de l’histoire QUARTIER LATIN évoque ce travail de minutie, de patience et de robustesse. Il est à la fois minimaliste et élégant. C’est un motif intemporel.
Le jour échelle de l’histoire QUARTIER LATIN est délicatement ciselé dans l’or sur une bague et un bracelet devenus bijoux fins et léger comme une broderie. Ils se portent comme une promesse de bien-être, comme un souvenir de l’histoire que nous écoutions enfants lovés dans le drap qui habillait nos songes. QUARTIER LATIN plaira aux femmes autant qu’aux très jeunes filles, et pourquoi pas aux toute petites filles qui sont en âge de porter leur premier bijou. C’est un classique poétique et rayonnant.
Déclinée en bague et bracelet, l’histoire QUARTIER LATIN comprend aussi de petits motifs d’oreilles, minuscules rouelles à peine plus grosses qu’un bouton pression. QUARTIER LATIN est une parure aérienne qui rend hommage aux patientes brodeuses dont le travail était aussi minutieux que celui d’un joaillier.